A la salle Léo Ferré de Bédarieux, si les organisateurs du foyer des
séniors ont avancé la date du traditionnel goûter de la fête des mères, ce
n'est pas en raison de leur âge mais à cause des impératifs de disponibilité de
la salle et aussi des activités prévues au mois de mai et au mois de juin (repas des gymnastes,
séjour randos dans la vallée d'Ossau, grillades à Joncels, organisation d'un
rallye... ).
Honorer prématurément nos mamans, pourquoi pas ? Mais
pourquoi pas aussi nos papas ? Willam Viala et son épouse Martine ont tout de
suite donné le thème de cette après-midi en entonnant « Papa, Maman »
célèbre chanson du Grand Georges Brassens. Avant de commencer leur tour de
chant qu'ils avaient prévu en toute modestie avec leurs amis Maryse et Gérard
Gomez, le président Jean-Claude Astier a souhaité la bienvenue à tous les
participants, adhérents du foyer, mais aussi aux pensionnaires de la maison de
retraite de Bédarieux qui ont bien voulu se joindre à cette chaleureuse manifestation
de convivialité. Madame Elisabeth Pégurier, première adjointe au Maire, s'est
félicitée du dynamisme de notre organisation ainsi que de celui qui anime un
grand nombre d'associations dans la commune.
Sans prétention aucune, sinon celle d'installer la
bonne humeur parmi l'assemblée, nos camarades nous ont diverti pendant plus
d'une heure avec des chansons et des sketches, parodiant les thèmes mythiques de Roméo et Juliette
ainsi que d'Orphée et Eurydice.
Après les rires et les émotions, la Brioche aux
pépites de chocolat est venue clore cette sympathique réunion ainsi que la
chanson de Jean Ferrat, très bien interprétée par Willam Viala, « On ne
guérit pas de son enfance ». On ne pouvait pas choisir meilleure
conclusion pour une telle fête.
Paul BOISSET
Paul BOISSET
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