La fête des mères en chansons et enchantées
Pour honorer la fête des mères et aussi par la même occasion celle des pères, nous n'avions jamais été aussi près du jour officiel, c'est à dire le dernier dimanche de mai. La veille, le samedi 24 mai 2025, la salle Léo FERRE fût transformée en véritable cabaret.
Toute l'équipe d'animation avait disposé les tables, bien décorées, de façon à ce que tout le monde, y compris les non adhérents au foyer (5 euros l'entrée), puisse profiter confortablement du spectacle et, à l’entracte, déguster les chouquettes, le rocher en chocolat, arrosés de cidre et de jus de fruit.
Malgré la concurrence sévère de la finale de rugby en coupe d'Europe et le départ pour la transhumance en Aveyron, organisée par l'association des retraités de la SNCF, 95 personnes sont venues applaudir les duettistes féminines, Bénédicte et Cindy, dans leur brillant numéro de music-hall.
Le fil conducteur du spectacle nous évoquait les chants et les danses depuis Mistinguett jusqu'à nos jours.
Bénédicte, à la fois chanteuse, comédienne, trompettiste et danseuse a mené la revue avec brio en sachant interpeller le public avec humour et empathie. Sa partenaire, Cindy, chanteuse, mais surtout danseuse de talent, venait pour la soutenir et illustrer ses prestations.
Elles sont toutes deux issues de la troupe d'artistes de Paul SELMER. C'est dire la référence !
Comme il est de coutume dans ce genre de spectacle, certains spectateurs sont invités à monter sur scène pour animer des sketches comiques. Jean DELEPLACE était devenu l'ancien amant retrouvé d'une chanteuse américaine sur le retour qui lui a tapissé le front de rouge à lèvres. Bernard DEBENNE subissait les assauts affectifs de sa tante espagnole et sa femme Lydie les sarcasmes de sa jalousie.
Ce festival de costumes, de lumières, de paillettes a illuminé la présence des participants qui ont témoigné leur confiance aux membres dirigeants du foyer. Il a pu apporter de la joie aux mamans avec une pensée affectueuse pour celles qui ne sont plus et pour celles dont les enfants ne peuvent plus leur souhaiter une « BONNE FÊTE »
Paul BOISSET
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