A la recherche de leurs origines ils ont fait le déplacement
en Périgord pour découvrir « la chapelle Sixtine du Périgordien », la
grotte de Lascaux !
Malgré un départ très matinal de Bédarieux l’ambiance est au
rendez vous, jamais remise en cause surtout lorsque les sympathiques
propriétaires des gites de « la Peyrière » leur font un accueil
chaleureux et leur servent leurs premières spécialités Périgourdines.
Valises à peine défaites dans des gites confortables et spacieux, le groupe n’a pas le temps d’une petite sieste puisque Lascaux les attends à quelques kilomètres.
Magnifique reconstitution de Lascaux I, Lascaux II est une merveille et pose la question du symbolisme de toutes ces fresques dont certaines sont énigmatiques… Attendons Lascaux III !
Valises à peine défaites dans des gites confortables et spacieux, le groupe n’a pas le temps d’une petite sieste puisque Lascaux les attends à quelques kilomètres.
Magnifique reconstitution de Lascaux I, Lascaux II est une merveille et pose la question du symbolisme de toutes ces fresques dont certaines sont énigmatiques… Attendons Lascaux III !
Pas question de rentrer aussitôt, un détour (très court) par St Amand de Coly s’impose. Un des plus beaux villages de France dominé par une imposante abbaye augustinienne fortifiée du XIIème siècle qui veille sur les maisons de pierre sarladaises couvertes de lauzes.
Les inconditionnels des vieilles pierres se font déposer
dans la traversée du village de St Geniès pour visiter ce village et l’ensemble
architectural formé par l’église ND de l’Assomption (XIIème) et son château du
XVIème. Ces courageux rentrent à pied jusqu’à leur gite (ce ne fut pas un
exploit, seulement 1.5km).Le diner, à la hauteur de celui de midi permet à chacun de se refaire une santé mais personne ne s’attarde trop longtemps à la veillée.
Non, ce ne fut pas le chant du coq qui nous réveilla, mais
cela aurait pu ; quel calme, quelle tranquillité…. moment apaisant et
bucolique !
Déjeuner copieux et en route pour la bastide de Domme dans
la brume matinale. Encore un des plus beaux villages de France ! Quelle
vue sur la vallée de la Dordogne. Cette bastide fondée en 1281 par Philippe le
Hardi obtint même le privilège de « battre monnaie », hélas elle
servit aussi de prison lors de l’arrestation des Templiers. Prise et reprise
lors de la guerre de cent ans elle connut aussi des heures noires lors des
guerres de religion puis plus tard lors de la « jacquerie des
croquants » en 1594 et 1637.
Aujourd’hui c’est un bourg paisible mais uniquement à visiter en dehors des heures
d’affluence touristiques, ce fut notre cas !
Il fallait gouter au magret de canard au miel et aux pommes
de terre sarladaises, nous l’avons fait !
Mon dieu quel succulent repas au Pech de Malet. Restaurant à recommander.
Mon dieu quel succulent repas au Pech de Malet. Restaurant à recommander.
Le château des Milandes de Joséphine Baker, nous ne pouvions
l’ignorer. Quelques instants de repos dans le jardin pour assister à une
démonstration de « fauconnerie » puis visite des appartements de
Joséphine ou elle éleva 12 enfants. Victime de sa générosité et d’artisans
douteux elle connaitra une fin difficile.
La journée ne pouvait se terminer sans une promenade en gabarre sur la Dordogne. C’est à Beynac que nous avons embarqué pour 40 mn de découverte de nouveaux points de vue. Encore des châteaux, toujours des châteaux !
Diner généreux comme il se devait, certains terminent la journée
par un moment de convivialité en jouant aux cartes.
Re chant du coq ! Cette fois c’est avec nos valises et
un brin de nostalgie mais il faut rentrer !
Oh pas directement, il, fallait s’émerveiller dans le jardin du château d’Eyrignac. Quel régal de l’œil, quelles perspectives mais quel travail.. . On comprend que ce lieu soit choisi pour certaines cérémonies privées comme des mariages.
Oh pas directement, il, fallait s’émerveiller dans le jardin du château d’Eyrignac. Quel régal de l’œil, quelles perspectives mais quel travail.. . On comprend que ce lieu soit choisi pour certaines cérémonies privées comme des mariages.
On ne pouvait pas non plus ignorer Sarlat. Une guide érudite
et particulièrement « boute en train » nous emmène découvrir une
partie de cette capitale du Périgord noir. Son centre-ville, d'une grande
homogénéité, est composé d'un lacis de ruelles et de venelles pittoresques, de
placettes ombragées, bordées d'hôtels particuliers aux toits de lauze dont les
plus célèbres sont la maison de La Boétie, l'hôtel du Barry, l'hôtel de
Savignac ou encore le présidial. Centre névralgique de la ville, la place de la
Liberté, bordée de terrasses, est le siège du marché, où se vendent les
spécialités de la région : foie gras, truffes, figues et noix.Dommage nous n’avons pas eu le temps de faire le marché !
Peut être y reviendrons nous.



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