samedi 12 avril 2025

 

Réunion pour fêter le printemps

Comme tous les ans pour fêter le printemps, toujours en quête d'exotisme, les responsables du FSHC ont choisi de proposer à leurs adhérents un repas dansant ayant pour thème « L'île de La Réunion ».

Comme la salle « Léo Ferre » était en travaux, la municipalité nous a autorisé d'utiliser l'avant salle de « La Tuilerie » ce jeudi 10 avril 2025.

Les adeptes de la section de danses en ligne se sont fait un plaisir de se vêtir avec les couleurs chatoyantes en vigueur sur l'île pour animer cet après-midi afin qu'il soit festif et joyeux. N'ayant pas pu obtenir les attractions prévues, ils ont mis en scène une danse traditionnelle qui a su séduire les 73 participants de ce repas.

 

Au menu, après avoir goûté le punch en apéritif, deux véritables réunionnaises d'origine nous ont servi un assortiment de petits nems, samoussas frits et petits bouchons cuits à la vapeur. Le plat de résistance était composé de morceaux d'agneau « massalé » une épice connue sur l'île. Ils étaient accompagnés de petits haricots blancs et de riz Basmati.

Après les hors d’œuvre, les rythmes endiablés de « la Compagnie Créole » ont entraîné la majorité des participants sur la piste. 

  

Fidèle à sa volonté de nous distraire, pour entrecouper les danses en ligne avec les danses dîtes de salon, Lydie Jacquet nous a proposé un jeu amusant, genre chaises musicales.

 
 
C'est Isabelle Damberville qui a remporté l'épreuve avec une belle plante fleurie comme récompense.
 

Le changement de cadre et de décors occasionné par ce transfert à « la Tuilerie » n'a pas semblé perturber nos coutumes. Il faisait beau temps, la salle était lumineuse, les extérieurs verdoyants.

Nous avons bien fêté le printemps. Mais n'est-il pas lui-même, par définition, une fête de la nature ?

Paul BOISSET

 

 

samedi 29 mars 2025

 

Printemps sur la « Grande Bleue »

 

C'était une première dans toute l'histoire de notre foyer. Une croisière ! Certains des inscrits en rêvaient depuis longtemps. Les autres attendaient avec impatience de pouvoir renouveler cette expérience. Magique ! C'est le mot qui revient le plus souvent dans les descriptions.

Quand les dix huit participants sont arrivés, le dimanche matin 16 mars 2025, sur le quai d'embarquement à Marseille, ils n'ont pas eu l'impression d'être devant un bateau, mais plutôt d'être devant un immeuble de 16 étages. Appréhension ! Mais elle fût très vite dissipée par l'excellente organisation de la société « MSC » qui nous invitait au voyage pour une semaine complète.

A l'intérieur, c'est là que la magie opère. Le luxe et la beauté du « design » des divers salons campent le décor d'un conte de fées. Dorures, chromes, tentures, paillettes, scintillent dans nos regards d'enfants. Arrivés dans nos cabines, le confort qu'elle nous offrait nous a rassurés. Sur les balcons nous pouvions nous fondre du regard dans l'immensité de la Méditerranée, en compagnie des goélands.

Beaucoup d'entre nous se sont affairés sur leurs portables pour enregistrer les différentes activités sportives ou ludiques offertes sur le bateau. Il a fallu se repérer sur les 370 m du bâtiment pour savoir où elles avaient lieu et aussi reconnaître les endroits où nous pouvions prendre les repas ou profiter des spectacles. Grâce à l'amabilité du personnel et une bonne indication des panneaux, tout est devenu rapidement habitude et formalité.

A chaque escale, une variété d'excursions était proposée mais non imposée. Gènes, Naples, Palerme, Tunis, Barcelone furent les villes d'accueil qui ont ponctué cette croisière.

Gênes PompéiPalerme
CarthageSidi Boussaid


     Barcelone
  Montserrat

Nous semblions coupés du monde. Plus de nouvelles anxiogènes. La vie à bord paraît n'avoir qu'un seul but, celui de satisfaire nos envies, qu'elles soient gustatives par la variété des boissons ou celle des plats culinaires ainsi que celle des pâtisseries. Qu'elles soient musicales, en apprenant toutes sortes de danses, ou en les pratiquant le soir sur la piste des différents salons. Et pour clore les soirées, la troupe de la compagnie maritime produisait, tous les soirs, un spectacle de music-hall de qualité.



Mais, même dans les contes de notre enfance, les Belles se réveillent. Les enchanteurs vont distraire d'autres lieux. 

Et nous avons repris la route de Bédarieux !

Paul BOISSET